« Je remercie le président Ignazio La Russa pour son invitation au Sénat et pour le soutien qu’il montre constamment aux forces armées.
Les évènements de Magenta constituent un fait grave : empêcher les bersagliers d’entrer dans une école signifie nier à la République la possibilité d’être présente et à l’Etat de dialoguer avec ses étudiants.
Confrontation et écoute sont les fondamentaux de la démocratie. Offrir aux jeunes la possibilité de se former une opinion libre et consciente est l’une des tâches les plus nobles de l’école.
Et, comme c’est souvent le cas, la réponse la plus belle est venue justement des jeunes. Hier, lors des célébrations du 2 juin, une fillette – dans un moment de silence – a hurle : « Bravo les bersagliers ! ». Cette exclamation, c’est la mienne aussi ».
C’est ce qu’a affirmé le ministre de la Défense Guido Crosetto au Sénat avec le chef d’état-major des armées, général Luciano Portolano, et une représentation des bersagliers.